Libé­ra­li­sa­tion, finan­ce­ment et des­serte de base : les prin­ci­paux chan­tiers de la poli­tique suisse des infra­struc­tures

​Sans infra­struc­tures per­for­mantes, il nous serait impos­sible de télé­pho­ner, de sur­fer sur Inter­net ni même d’en­voyer une lettre. Nous pour­rions nous dépla­cer – à pied – que sur de courtes dis­tances et tous les appa­reils qui nous sont fami­liers, tels que cui­si­nière, machine à laver, voire chauf­fage, ne nous seraient d’au­cune uti­lité puisque nous serions inca­pables de faire venir chez nous l’élec­tri­cité ou le gaz. Inves­tir à long terme dans les infra­struc­tures est donc une chose à ne pas négli­ger. Au vu des impor­tants défis à rele­ver, il importe de trou­ver de nou­velles recettes, loin des idéo­lo­gies igno­rant la réa­lité, plu­tôt que de s’ac­cro­cher par nos­tal­gie ou souci de pro­tec­tion natio­nale à des struc­tures anky­lo­sées.